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 {diana} A strange sense of 'deja vu'...

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Bruce Wayne
Bruce Wayne
BATMANLonely & Dark

articles rédigés : 91
arrivé en ville : 18/01/2013
credits : Mr Pepper & Tumblr
où te caches-tu : Gotham ! Mais à toi de trouver où exactement !
job : PDG de Wayne Enterprises
mood : Aux aguets


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biggest fear: Faire honte à ses parents, plus particulièrement à son père
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MessageSujet: {diana} A strange sense of 'deja vu'...   {diana} A strange sense of 'deja vu'... EmptyMar 19 Fév - 1:25



(c) batou
Bruce & Diana
« A strange sense of 'deja vu'... »

Impossible. Tout simplement impossible pour notre milliardaire philanthrope de savoir quel avait été son futur, quel avait été son destin. En un claquement de doigts de la part du destin, il était revenu à la case départ sans même s’en rendre compte, sans même en avoir conscience. Maître de son esprit, certes, mais esclave du jeu des Dieux et des sortilèges du Destin. En cette nouvelle soirée qui s’annonçait, Bruce Wayne ne pouvait se douter qu’il ne s’agissait tout simplement que de la seconde prise d’un même acte. De la répétition d’un fait qui fut déterminant pour son avenir. Un avenir qui, paradoxalement, appartient au passé et à l’oubli aujourd’hui. Marionnette entre les mains des Dieux, Bruce ne devinerait jamais ce qui avait été décidé pour lui… Car tout repartait à son point de départ…

21h37, salle de réception de l’hôpital de Gotham.

« Monsieur Wayne, mademoiselle ! » Salués par le portier, Bruce pénétrait dans la salle de réception auprès d’une grande et plantureuse rousse. Une jeune actrice en vogue, en partance pour signer un nouveau contrat plus que juteux avec les hautes sphères du cinéma, qui avait su attirer l’attention et le regard du golden boy de la ville selon les dires de la presse. Le roman photo traditionnel de la belle créature somptueuse et rêveuse à souhait qui connaissait l’idylle auprès d’un des hommes les plus convoités en ce bas monde. Sourire aux lèvres, le bras niché autour de la taille de sa partenaire, Bruce Wayne jouait parfaitement sur les apparences. Une nouvelle femme à rajouter à son tableau de chasse. Une nouvelle créature à épingler sur le mur pour l’ensemble de ses rivales et toutes les autres demoiselles en admiration devant l’unique héritier de la famille Wayne… Et pourtant, si tout le monde savait à quel point notre principal intéressé s’en moquait totalement ! S’ils savaient tous que la recherche de l’affection et de l’amour ne faisait aucunement partie de ses objectifs ! Et s’ils savaient à quel point il se foutait de cette actrice qu’il avait à son bras. Une femme belle, digne d’un homme de son rang, mais d’une simplicité ennuyante et d’une voix tout bonnement exécrable pour les oreilles de notre ami. Mais que ne ferait-on pas pour soigner son apparence ? Que ne ferait-on pas pour répondre au besoin de l’image de marque et, surtout ! Que ne ferait-on pas pour continuer de dissimuler parfaitement la noirceur d’un secret tel celui du justicier milliardaire ? Car, tel n’était autre que le prix à payer pour Bruce. Être la coqueluche de ses dames et le parti le plus envié de la ville afin de ne jamais amener de soupçon quant à son véritable visage, quant à sa véritable nature : celle du Batman ! Voilà pourquoi la comédie n’est pas qu’une passion mais bel et bien un métier aussi éreintant que les autres, pour ne pas dire plus. L’ennui demeure long et interminable une fois que nous n’avons aucun intérêt envers l’action que nous sommes en train de réaliser. Et dire qu’en attendant, pendant ce temps précieux, la vermine de Gotham et ses pires criminels continuaient de pulluler librement et de mettre à mal les forces de police de ce brave Gordon… Comme à chaque arrivée dans ce genre de soirée, Bruce n’espérait qu’une seule chose : en arriver au moment où il pourrait s’éclipser et retrouver le costume de son véritable visage !

« Tiens donc, voici l’homme de la soirée… » Voix malicieuse, sournoise et sinueuse telle celle du serpent, c’est avec un roulement d’yeux discret que le prince de Gotham se retourna vers son interlocuteur. « Comptiez-vous réellement sur mon absence monsieur Webstein ? » Posa-t-il un regard détaché sur son vis-à-vis, à savoir un riche banquier de Gotham qui semblait avoir une sainte horreur de Wayne. Fort heureusement, ce dernier le lui rendait bien ! Ledit financier n’inspirait qu’un mélange de méfiance et de dégoût à notre intéressé. Et, avec le temps, Bruce avait appris à se fier à ce type de pressentiment… Vu que ces derniers finissaient souvent par se confirmer d’une quelconque manière. « Excuse-moi un instant, Bruce. » Totalement à l’écart de l’échange entre les deux hommes, la jeune actrice désigna un homme, un producteur certainement, avec lequel elle désirait absolument s’entretenir. Wayne lui offrit un bref sourire accompagné d’un hochement de tête avant qu’elle ne s’en aille un peu plus loin. « Je vois que vous savez toujours bien vous entouré ! » « Serait-ce une marque de reproche ou de jalousie ? » Webstein avança, deux coupes de champagne à la main dont une qu’il tendit à l’attention de Bruce. « Une simple constatation mon cher. Mon reproche serait surtout d’avoir refusé mon offre de partenariat pour créer la nouvelle aile de cet hôpital ! » Bruce saisit la coupe, de façon laconique, ne pouvant s’empêcher de baisser le visage en affichant un sourire moqueur. « Mon brave Webstein… L’idée même de profiter de la construction de ces nouveaux locaux afin d’entraîner un coup excessif des soins de santé ne fait absolument pas partie de mes priorités, contrairement à vous ! Et je rajouterais que, quelles que soient vos compétences en matière de chiffres, je ne m’associerai jamais avec un arriviste ne valant guère mieux qu’un Luthor ! Mais, si vous voulez bien m’excusez, d’autres personnes appréciant réellement mon travail et mon investissement pour cette ville tiennent à me saluer. » Un autre sourire teinté d’une nette hypocrisie et c’est sans cérémonie que Bruce prit congé de cet énergumène. Il se perdit au cœur de la foule, allant de mains en mains et de chaleureuses empoignades en chaleureuses empoignades. Une soirée presque trop traditionnel, à un détail près…

« Ah Bruce ! L’homme à qui je dois tant ! » Interpellé par cette voix quelque peu familière depuis plusieurs semaines, l’héritier Wayne se retourna vers le responsable du département de neurochirurgie, le docteur Stevens. « Docteur ! N’exagérez pas trop tout de même, l’agrandissement de vos services était tout naturel ! » Ledit docteur vint serrer avec enthousiasme la main du milliardaire tout en secouant la tête de droite à gauche. « Pas de cela avec moi, Bruce ! Vous savez, pour avoir connu votre père dans le passé, je peux vous dire que votre générosité est digne de sa grandeur. A sa place, je serais très fier de vos investissements pour aider notre ville. » Bruce ne sut que dire face à cela. S’il n’affichait qu’un fin sourire, à l’intérieur de son être, il rougissait et ne pouvait que se sentir touché par de tels propos. Au même titre que demeurait cette interrogation de savoir si, effectivement, il était réellement à la hauteur de ce que son défunt père eu un jour espéré de son fils. Le genre de témoignage et de propos qui avaient l’art de couper la parole à notre ami. Heureusement que, pour sa part, le docteur se voulait plus volubile en cette seconde. Sans quoi, il était fort à parier que le silence s’installe bien étrangement et de façon quelque peu dérangeante. « Sur ce, je sais que votre temps est précieux mais, je tenais à vous présenter l’une de nos meilleures collaboratrices et qui, je vous l’avouerais, m’a confié avoir hâte de vous rencontrer ! » Confia-t-il aux oreilles du milliardaire. « Diana ? »

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Diana Prince
Diana Prince
wonder woman ~ never fall in love

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arrivé en ville : 18/12/2012
credits : (c)bazzart
où te caches-tu : dans les airs
job : infirmière en neurochiurgie, super-héros à temps pleins
mood : bonne


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MessageSujet: Re: {diana} A strange sense of 'deja vu'...   {diana} A strange sense of 'deja vu'... EmptyMer 20 Fév - 3:44



(c) batou
Bruce & Diana
« Les vrais sentiments ne s'arrêteront jamais... »
Il n’y avait déjà que quelques heures à peine que le Docteur Stevens était venu me voir dans mon bureau pour me faire part de la fameuse réception pour la nouvelle partie de l’hôpital. Étant l’infirmière-chef de la section Trauma et des Soins Intensifs, c’était en fait mon devoir d’y aller, mais je n’en avais réellement pas envie. Je me foutais pas mal de cette célébration, je voulais tout simplement finir mes dossiers, tranquille, chez moi. À ce moment-là, j’étais assise à mon bureau, entrain d’étudier un dossier d’un patient souffrant d’hémorragie interne cérébrale. C’est monsieur Wayne qui organise cette réception, Diana. Mon regard c’est tout de suite perdu de mes dossiers, et en signe de réponse lâche, je n’ai que faire un faible mouvement de la tête, quand au fond de moi, je bouillonnais d’excitation et de nervosité. Six ans maintenant, que je l’avais perdu, six ans maintenant, qu’il ne sait même plus que j’existe.

J’étais lourdement installée sur le rebord de la fenêtre, debout, me tenant droite, pour une certaine prestance, pour ne pas montrer et prouver corporellement que je m’ennuyais à mourir. L’ambiance était joviale, certes, mais les gens dégageant trop de fierté et de droit qui était présent dans la salle de réception me laissait de marbre. Je me tenais seule avec ma coupe de champagne, craignant son arrivé rocambolesque, comme il avait si bien l’habitude de faire ; toujours se faire remarquer ou bien plus tôt subtilement, arrivé au bras d’une différente fille à chaque fois, aussi belle les unes que les autres. Effectivement, j’avais peur. Non de sa réaction, mais de la mienne. Je ne sais pas comment je réagirai face à lui. La soirée avait déjà avancée à grand pas, sans rien de nouveau ou d’action de plus. Soudainement, une vague de tonnerre d’applaudissements se fut entendre dans la salle de réception. Je crois que c’était bien et bel la seule chose qui est réussit à me faire sortir de ma bulle. Je me retournai derechef, et tout ce que je vis, me fit l’impression de recevoir un coup de poignard dans le dos. C’était Bruce, mais accompagné d’une belle grande femme, aussi conne que tous les autres, il y a six ans. J’étais très proche de déraper sur la crise de nerfs et de jalousie, mais je ne devais rien faire. Je ne devais que respirer, et rien dans cet exercice n’était facile. Je m’avançais docilement vers la troupe de gens qui c’était dispersé face au nouvel héros de l’hôpital. Il était toujours aussi charmant, et beau, même après six ans. Son sourire, ses yeux, sa face de regarder les gens, sa mâchoire, tout m’avait manqué chez lui. J’étais satisfaite de le voir, simplement avec mes yeux. Sans m’en rendre compte, je n’ai pu que le dévoré des yeux… à côté du Docteur Stevens. Vous êtes prêtes à le rencontrer, Diana ? me dit-il, tout sourire. La peur me prit d’un seul coup. Depuis quand le rencontrer, était dans le plan ? Pardon, Docteur ? Mais, je… hum… Il avait l’air tout heureux de ma réaction. Allons, Diana ! Ne soyez pas timide, venez ! Mon corps ne voulait pas bouger, mais mon corps, lui, avançait déjà en sa direction. Je ne pouvais que ressentir des frissons de contentements et de nervosité. Pourtant, j’avais une allure très calme, malgré le fait de jouer dans mes boucles couleurs havres qui tombaient au creux de mon dos. La distance qui me séparait de lui était incroyable. Après tant d’années de recherche et de cœur brisé, j’étais enfin là, face à lui. J’attendais ce moment avec tant de hâte. Je ne devais que faire bonne impression, comme la première fois. Une conversation non moins intéressante c’était installé entre les deux hommes. Docteur Stevens me présentait. C'était le moment venu. Sur ce, je sais que votre temps est précieux mais, je tenais à vous présenter l’une de nos meilleures collaboratrices et qui, je vous l’avouerais, m’a confié avoir hâte de vous rencontrer ! Confia-t-il aux oreilles du milliardaire. Diana ?
Affichant mon plus beau sourire, je passais devant avec un regard charmeur, en lui tendant ma main, pour une ferme poignée de main. Bonsoir, monsieur Wayne. Je suis ravie de faire votre connaissance, depuis le temps que j’entendais ce moment ! lui dis-je en lui serrant la main. Le contact de sa peau contre la mienne était comme un manque qui revenait après trop de temps. Je n’ai pu cacher le frisson qui m’avait envahit. Ça m’avait tant manqué. Au nom d'infirmière-chef du Trauma et des Soins Intensifs, je voulais vous remercier car grâce à votre générosité, on pourra sauver encore plus de vies, et j'ai prier le bon dieu trop de temps pour ça ! lui dis-je en laissant échapper un de mes plus beaux rires cristallins, tout simplement pour le charmer. Je le voulais. Il m'avait manqué. C'est tout.


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